martedì, giugno 13, 2006

Tu es la vague, moi l'île nue...

J'ai peur de mes rêves de faïence Qui brûlent dans ma tête en silence Sous des nappes de pierres immenses Et je pense Les prières sombres des morts Mon esprit me sert de décor Et j'adore Et le vent m'entraîne dans l'haleine Des tissus de robes africaines Je glisse sur un tapis de bohème Indienne Les éclats de verre sous mes pieds Ne pourront jamais refléter Le son des violons enchantés Et rêver ISSO É PARIDO POR UM LATAGÃO CALVO, ROUCO E DRAMÁTICO. A BELEZA DISSO NÃO HÁ COMO SER DESCRITA, VISTO QUE, SE UMA IMAGEM VALE MAIS QUE MIL PALAVRAS, UM PAR DE ACORDES SUPERA AS DEZENAS DE MILHARES DE IMAGENS. É O QUE MINHA MATEMÁTICA FINANCEIRA TACHARIA DE JUROS COMPOSTOS. BONITO, BONITO, BONITO.